voyageurs qui viennent dans la ville dans l’espoir de la connaître d’une manière alternative aux visites guidées traditionnelles.
La particularité de ces tours gratuits à Vienne est qu’ils n’ont pas de prix fixe, puisque c’est le client qui détermine le montant à payer au guide, sous forme de pourboire, en fonction de son évaluation finale du tour.
En outre, ces visites sont effectuées en français, ce qui ajoute une grande valeur à la visite gratuite de Vienne, permettant de comprendre l’histoire et toutes les explications du guide à la perfection.
Après notre visite de la ville, dont nous avons écrit plusieurs guides optimisés par jours, que vous pouvez voir dans le guide de Vienne, nous vous laissons avec ce qui sont pour nous, les meilleurs tours gratuits à Vienne. Commençons !
Vous voulez vous faire une idée générale de la ville ? Alors nous vous recommandons de ne pas chercher plus loin et de faire ce tour gratuit à Vienne. Comme vous le verrez ci-dessous, il comprend quelques-uns des lieux incontournables à visiter à Vienne, ce qui vous permettra d’avoir un premier aperçu de la ville, puis de l’apprécier et de la connaître à votre propre rythme.
Voici quelques-uns des lieux inclus dans la visite :
la place Helmut Zilk-Platz
Fontaine du Danube à Albertinaplatz
Parc Burggarten
Palais impérial de la Hofburg
Place Josefsplatz et monument contre la guerre et le fascisme
Place Neuer Markt
Maison de Mozart
Cathédrale Saint-Étienne
Opéra national
Cette visite gratuite de Vienne commence à la Helmut Zilk-Platz et se termine à l’Opéra d’État après 2 heures de visite.
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Connue pour être l’une des villes les plus monumentales, les plus belles et les plus élégantes d’Europe, Vienne est particulièrement belle la nuit, lorsque les bâtiments et les monuments sont illuminés, donnant à la ville et au voyageur une image unique.
Si vous souhaitez profiter de cette image avec un guide francophone, cette visite gratuite de Vienne est faite pour vous !
Voici quelques-uns des lieux à visiter :
la place Helmut Zilk-Platz
Fontaine du Danube à l’Albertinaplatz
Parc Burggaten
Palais impérial de la Hofburg
Place Josefplatz et monument contre la guerre et le fascisme
Place Neuer Markt
Maison de Mozart
Cathédrale Saint-Étienne
Cette visite, qui fait partie des meilleures visites gratuites de Vienne, commence à la Helmut Zilk-Platz et se termine à la cathédrale Saint-Étienne. La visite dure 2 heures.
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Quel pourboire laisser ?
C’est l’une des questions les plus fréquemment posées, surtout si l’on considère que ces visites gratuites à Vienne n’ont pas de prix fixe et que c’est le voyageur qui détermine le montant du pourboire à laisser au guide, en fonction de l’évaluation qu’il a faite de l’excursion.
Bien qu’il s’agisse d’une référence personnelle, nous pensons que le montant minimum à donner au guide est de 10 euros par personne, à condition que votre évaluation soit positive et, si vous voyagez avec des enfants, gardez à l’esprit qu’ils ne paient généralement pas, bien que vous puissiez toujours augmenter le montant que vous donnez par adulte, pour compenser.
N’oubliez pas qu’il s’agit d’une référence totalement personnelle et qu’en fin de compte, elle doit dépendre de votre évaluation du voyage, de votre situation économique et de votre budget pour le voyage.
Cela dit, nous pensons que même si le voyage comporte le mot « gratuit », cela ne doit pas vous inciter à abuser des circonstances. Si nous ne travaillons pas tous ensemble pour maintenir les visites gratuites à Vienne, elles disparaîtront.
Situé au milieu de l’Atlantique, l’archipel des Açores est composé de neuf îles volcaniques appartenant au Portugal. Ce petit coin de paradis est une destination encore préservée du tourisme de masse, idéal pour les amoureux de nature, de randonnées et d’aventures maritimes. Voici pourquoi un voyage aux Açores vous garantit une immersion totale dans un cadre naturel unique.
Des paysages époustouflants pour un dépaysement garanti
Les Açores sont un véritable havre de paix pour les amateurs de paysages sauvages. Lors d’un voyage aux Açores, vous découvrirez que chaque île possède une identité propre et offre des panoramas à couper le souffle. L’île de São Miguel, la plus grande de l’archipel, est célèbre pour ses lacs volcaniques, notamment le Lagoa das Sete Cidades, un ensemble de deux lacs aux eaux de différentes couleurs nichés au creux d’un ancien cratère.
L’île de Pico, quant à elle, abrite le point culminant du Portugal. Pour ceux qui préfèrent les paysages côtiers, les îles de Flores et Corvo offrent des falaises impressionnantes et des cascades spectaculaires plongeant directement dans l’océan.
Un paradis pour les amateurs de randonnée
Si vous aimez les randonnées, l’archipel regorge de sentiers balisés.
À São Jorge, l’une des îles les plus prisées des randonneurs, vous trouverez de nombreux sentiers qui offrent des vues spectaculaires sur l’océan et les îles voisines. Les fajãs, ces petites plaines côtières formées par les coulées de lave, sont particulièrement impressionnantes.
Sur l’île de Faial, la randonnée vers la Caldeira do Faial, un immense cratère volcanique, est un incontournable. Vous pouvez également explorer les Capelinhos et leurs paysages lunaires créé par une éruption volcanique en 1957, qui offrent une expérience de marche hors du temps.
L’île de Pico, le mont Pico est un volcan majestueux qui attire les randonneurs en quête de défis.
Découvrir les Açores en prenant la mer
L’archipel des Açores se découvre aussi par la mer. Des liaisons maritimes permettent de voyager facilement entre les îles principales.
Les eaux qui entourent les îles sont parmi les plus riches en faune marine au monde. Partir en excursion en bateau permet d’observer des cétacés tels que les dauphins, les baleines et les cachalots dans leur environnement naturel.
Si vous aimez les activités nautiques, vous pouvez aussi profiter des Açores pour faire du kayak, du paddle ou même de la plongée sous-marine. Les fonds marins volcaniques regorgent de grottes et de tunnels sous-marins qui abritent une biodiversité exceptionnelle.
Une destination nature encore préservée
Les Açores sont une destination encore préservée du tourisme de masse, pour une expérience authentique et respectueuse de l’environnement. L’archipel est reconnu comme une destination durable, avec des initiatives locales visant à protéger la biodiversité unique de ses terres et de ses eaux.
Que vous soyez passionné de randonnée, amateur d’activités nautiques ou simplement à la recherche de dépaysement, les Açores promettent une escapade hors du temps au cœur de l’Atlantique.
Flâner dans les rues médiévales de Saint-Jean-Pied-de-Port était l’un des objectifs de mon voyage au Pays basque français. Saint-Jean-Pied-de-Port, c’est son nom français, mais son nom basque est Donibane Garazi, et je l’ai découvert pendant mon voyage. Cette ville fait partie de l’un de ces points que nous aurions marqués au feutre fluorescent sur la carte… si nous utilisions encore des cartes en papier. La dernière étape française du chemin de Compostelle faisait partie de nos rêves de voyage depuis longtemps. Un rêve qui s’est réalisé, même si pour l’instant nous n’y sommes allés qu’en touristes, et non en pèlerins. C’est avec ces yeux de touristes que nous vous racontons ce qu’il faut voir à Saint-Jean-Pied-de-Port, pour nous l’un des plus beaux villages du Pays basque français.
Oui, parce que, au-delà de la symbolique du pèlerinage, les vues de la Nive, ses palais nobles, son église, ses rues étroites, ses boutiques d’artisanat, son environnement naturel… en font un lieu très spécial.
Venez avec nous, vous verrez qu’il y a beaucoup à visiter à Saint-Jean-Pied-de-Port. Si vous vous arrêtez par ici, gardez un peu de temps avant de repartir pour une nouvelle destination.
L’étape du chemin de Compostelle est la première chose à voir à Saint-Jean-Pied-de-Port
Pour les pèlerins qui commencent leur chemin plus au nord, la première chose à voir à Saint-Jean-Pied-de-Port est la porte de Saint Jacques. L’entrée historique des routes jacobines à travers l’Europe, qui les prend en prenant l’accueil d’il y a des siècles, toujours là pour les deux pèlerins comme, maintenant, pour les touristes. Si vous arrivez en voiture comme nous l’avons fait, nous ne serons sûrement pas votre premier arrêt dans le village, mais nous nous approcherons pour la voir. Et vous coupez, même si c’est le cas, la partie du chemin de Saint-Jacques qui traverse le village.
La porte de Saint Jacques, premier contact avec les pèlerins de Saint-Jean-Pied-de-Port.
La citadelle et son belvédère
Mais à peine franchie la porte Saint-Jacques, une distraction vous détourne déjà du chemin. Sur votre gauche ou à droite si vous venez du centre et non de la porte se dresse la Citadelle de Saint-Jean-Pied-de-Port. Elle se trouve à 70 mètres au-dessus du village, au sommet de la colline de Mendiguren, où s’élevait autrefois une forteresse médiévale. En été, la montée sous le soleil a pris un peu plus de temps que prévu, mais elle en valait la peine.
La citadelle existe depuis le XVIIe siècle : elle a été construite par les précurseurs de Vauban et Vauban lui-même a laissé sa marque – combien de fortifications a-t-il construites en France ? Aujourd’hui, on ne peut pas visiter l’intérieur – il y a une école – mais on peut admirer ses grands murs de pierre et la vue depuis le belvédère du croissant royal. Le centre historique de Saint-Jean-Pied-de-Port, la vallée de la Nive, les Pyrénées… que demander de plus ?
La rue de la citadelle et ses palais
Revenons au chemin de Saint-Jacques, qui, à l’intérieur de la première fortification de Saint-Jean-Pied-de-Port, prend le nom de rue de la Citadelle. C’est aussi la rue principale, c’est donc incontestablement LE lieu à voir à Saint-Jean-Pied-de-Port. C’est ici que se dressent les palais les plus importants de la ville, dont beaucoup ont été construits avec la pierre rose du mont Arradoy, tout proche. L’un des plus beaux de la rue et de toute la ville est la Maison Arcanzola, avec son mélange de colombages peints en rouge, de briques à chevrons et de pierre rose. C’est là, sur l’une de ces poutres en bois, que se trouve l’inscription avec la date la plus ancienne de Saint-Jean-Pied-de-Port : 1510.
Un autre des bâtiments les plus importants de la rue de la citadelle est la Prison des Évêques. Elle a été appelée ainsi récemment parce que, d’une part, les évêques de Bayonne s’y trouvaient pendant le Grand Schisme d’Occident, fin du XIVe et début du XVe siècle et, d’autre part, elle a été transformée en prison à la fin du XVIIIe siècle. Si vous cherchez un bâtiment à visiter à Saint-Jean-Pied-de-Port, le voici : vous pouvez entrer à l’intérieur. Nous ne pouvons pas vous en dire plus, car nous y sommes allés un mardi, jour de fermeture, mais sur le site officiel du tourisme du Pays basque français, vous trouverez des photos et des informations pratiques sur la visite.
L’Église Notre-Dame du Bout du Pont
Si nous sommes sur une étape importante du Chemin de Saint-Jacques, il doit bien y avoir une église tout aussi importante, non ? Eh bien oui, dans la même rue de la citadelle se dresse l’église Notre-Dame du-Bout-du-Pont, deuxième édifice gothique du Pays basque français, devancée seulement par la cathédrale de Bayonne. L’église actuelle a été construite sur l’emplacement d’une église du XIIIe siècle érigée, selon la tradition, par le roi de Navarre, Sanche VI, après la victoire contre les Maures à la bataille de Navas de Tolosa en 1212.
L’hôtel de ville et la porte de Navarre
Après avoir parcouru toute la rue de la citadelle, de la porte de saint-jacques à l’église Notre-Dame du-Bout-du-Pont, nous faisons un autre petit détour sur le Chemin de Saint-Jacques, en quittant le quartier historique par une autre de ses portes : la porte de Navarre. Elle est également connue sous le nom de porte du Marché, car c’est ici que se tenait autrefois le marché de la ville, sur la place devant l’église. Du côté de la place, le regard se porte sur la rivière et offre une vue moins connue de Saint-Jean-Pied-de-Port.
Vous pouvez sortir sur la place Charles de Gaulle avec la belle maison Mansart du 18e siècle, qui tire son nom de ses greniers -mansardes en français. Elle abrite aujourd’hui l’hôtel de ville. Sur cette même place, vous trouverez également l’office de tourisme de Saint-Jean-Pied-de-Port.
Le chemin de ronde
À l’office du tourisme, nous avons appris qu’il était possible d’emprunter le chemin de ronde le long de la muraille de Saint-Jean-Pied-de-Port, de la porte de Navarre à Saint Jacques. La mauvaise nouvelle, c’est qu’il n’y a pas de vue sur la vieille ville, car les palais de la rue de la citadelle la bloquent. Mais il est intéressant, en plus de longer la muraille d’en haut, de voir les jardins et les vergers derrière les maisons… un côté beaucoup moins touristique de la ville. On passe également par un autre ancien accès à la ville : la porte de France.
Le portail de Notre Dame et le pont de la rivière Nive
Nous retournons du côté de l’église Notre-Dame-du-Bout-du-Pont. C’est ici que se trouve l’entrée la plus grandiose et la plus commune de la vieille ville : la porte Notre-Dame. Si vous êtes sur le chemin de Saint-Jacques. Les statues de saint Jean-Baptiste et de la Vierge à l’enfant, au-dessus de la tour de la porte, à l’extrémité du vieux pont sur la rivière, vous accueillent dans la ville. L’une des images les plus reconnaissables de Saint-Jean-Pied-de-Port.
Porte de Notre-Dame après le pont sur la Nive
Les rives de la Nive et la vue sur la ville
Si vous cherchez la carte postale classique du village, avec cette porte Notre-Dame et son pont, il faut descendre de la porte jusqu’à la route d’Eyheraberry, sur les bords de la Nive. On peut l’apercevoir de là et du premier pont en bois qui enjambe la rivière, au bout de la rue du Fronton – on peut le traverser et voir aussi le fronton de St Jean Pied de Port de l’autre côté de la rivière.
Le pont d’Eyheraberry
Nous sommes bien sûr descendus et, après avoir pris la photo obligatoire, nous avons continué par l’allée Eyheraberry, que nous avons trouvé être l’une des parties les plus agréables de la ville, immergée dans la verdure, près de la rivière et beaucoup moins fréquentée par les touristes. Nous vous conseillons d’aller au moins jusqu’au soi-disant « pont romain », qui date en fait du XVIIe siècle… Pourquoi tous les ponts en pierre devraient-ils s’appeler « romains » ? En fait, son vrai nom est le pont Eyheraberry, qui signifie en basque « nouveau moulin », car oui, il y avait un moulin.
La rue d’Espagne
De l’autre côté de la Nive se trouve le quartier d’Espagne, le quartier des artisans qui n’était pas fortifié au Moyen Âge. Sa rue principale est la rue d’Espagne, prolongement sur l’autre rive de la rue de la Citadelle et du chemin de Saint-Jacques. Son bâtiment le plus important est la Maison des États de Navarre, datant du XVIIe siècle. C’est là que se tint, en 1789, après la Révolution française, la dernière réunion des États généraux de Navarre, qui réclamaient l’indépendance de la Basse-Navarre par rapport à la France. Les États généraux de Navarre furent supprimés et la Basse-Navarre fut rattachée à la France, avec le Béarn, pour former un nouveau département : les Basses-Pyrénées, aujourd’hui Pyrénées Atlantiques. Le bâtiment existe toujours.
La même date, 1789, figure sur un autre bâtiment, le numéro 9 de la même rue. Ce n’est pourtant pas pour rappeler la Révolution française mais… le prix du blé ! Voici ce que l’on peut lire : « ANDRE FITERE L’ AN 1789 LE FROMENT FAIT A 15 LS ». C’était une boulangerie, celle d’André Fitère, et l’inscription rappelle le prix du blé cette année-là, 15 livres. C’est du moins le prix auquel il l’a vendu, et la « publicité » est toujours là, près de deux siècles et demi plus tard ! Regardez aussi les autres inscriptions sur les linteaux des maisons de Saint-Jean-Pied-de-Port, avec les noms de leurs anciens propriétaires ou de leurs professions : vous reconnaîtrez la typographie typiquement basque sur certaines d’entre elles.
La porte d’Espagne et la suite du chemin de Compostelle
Bien qu’au Moyen Âge le quartier espagnol n’ait pas été fortifié, une nouvelle fortification a été ajoutée à cette partie de Saint-Jean-Pied-de-Port en 1840. C’est là que fut ouverte la porte d’Espagne, où se termine la partie « urbaine » du Chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle. Aujourd’hui, il n’en reste plus grand-chose, mais il faut s’y rendre, ne serait-ce que pour sa signification symbolique. La raison de son nom est claire : c’est le point de départ du chemin qui traverse les Pyrénées pour rejoindre l’Espagne. Ces 24,5 km de la première étape du Chemin français sont ceux qui séparent Saint-Jean-Pied-de-Port de Roncevaux.
Comment se rendre à Saint-Jean-Pied-de-Port
L’aéroport le plus proche de Saint-Jean-Pied-de-Port est celui de Biarritz, situé à environ 50 km.
Si vous vous demandez comment vous rendre à Saint-Jean-Pied-de-Port en transports publics, sachez des trains directs partent de Bayonne (un peu plus d’une heure).
Début du chemin ou fin d’un voyage… Saint-Jean-Pied-de-Port vous attend.
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