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Safari en Tanzanie : un voyage inoubliable pour toute la famille !
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Planifier un safari en Tanzanie offre une escapade exceptionnelle qui marque les esprits de tous les membres de la famille. Des panoramas époustouflants, une riche diversité d’animaux sauvages et des expériences éducatives inestimables attendent les aventuriers de tous âges. Un tel voyage n’est pas seulement une occasion de découvrir la nature, mais aussi de tisser des liens familiaux forts dans un cadre à la fois exotique et éducatif.
Pour que le safari soit parfaitement adapté aux besoins de chacun, quelques préparations sont essentielles. Tout d’abord, choisir le bon tour opérateur peut grandement influencer la qualité de votre expérience. Visiter l’agence Maisons du Voyage pour trouver des offres sur mesure qui seront adaptées selon l’âge des enfants et les intérêts de chaque membre de la famille. Ensuite, il ne faut pas oublier de mettre dans vos bagages de la crème solaire, de l’insecticide, des vêtements confortables pour les longues journées passées à l’extérieur ainsi qu’une trousse de premiers secours toujours pratique en cas de petits accidents.
Découverte des parcs nationaux prestigieux
L’un des principaux attraits d’un safari en Tanzanie est sans aucun doute la visite de ses nombreux parcs nationaux. Le parc national du Serengeti, célèbre pour sa grande migration, donne à voir des spectacles naturels fascinants où des milliers de gnous et zèbres traversent les plaines en quête de pâturages plus riches. Cette merveille de la nature offre également des opportunités d’observation exceptionnelles pour les passionnés de faune. D’autre part, le cratère du Ngorongoro, souvent désigné comme une des merveilles naturelles du monde, abrite une densité incroyable d’animaux sauvages dans un espace relativement restreint, ce qui garantit des observations fructueuses.
Rencontres culturelles enrichissantes
Un safari en Tanzanie ne se limite pas uniquement à l’exploration des parcs et à la découverte des espèces animales, il s’agit aussi d’une immersion dans les cultures locales. Rencontrer les communautés Massai, Hadzabe, ou Datoga offre des perspectives inédites sur des modes de vie profondément enracinés et distincts. Ces interactions, souvent organisées avec un respect scrupuleux pour les traditions locales, sont bénéfiques tant pour les visiteurs que pour les communautés, qui trouvent ici un moyen de partager leur héritage tout en bénéficiant de retombées économiques directes.
Le meilleur moment pour partir
La planification du safari est cruciale pour maximiser l’expérience. Les périodes de juin à octobre et de décembre à février présentent les conditions climatiques les plus favorables pour l’observation des animaux. Cependant, visiter pendant la saison des pluies peut aussi avoir son charme unique, car le paysage se transforme, attirant ainsi une variété différente de merveilles naturelles. Les tarifs durant cette période sont moins élevés, rendant le voyage plus accessible pour les grands groupes ou les familles nombreuses…
Vous souhaitez partir au Kenya pour vos prochaines vacances en famille ? Ce pays vous permettra de profiter d’une expérience unique, mêlant aventures sauvages et découvertes culturelles. Entre safaris captivants, plages idylliques et rencontres avec les communautés locales, vous vivrez des moments forts. Voici quelques conseils et lieux à ne pas manquer pour un séjour inoubliable au Kenya.
Les meilleurs parcs nationaux du Kenya à découvrir en famille
Le Kenya abrite plusieurs parcs nationaux réputés pour leur beauté et leur biodiversité. Le parc national de Masai Mara est notamment l’un des plus célèbres pour ses vastes plaines où vivent les célèbres Big Five. Ce lieu est particulièrement apprécié pour les safaris en famille, permettant d’observer lions, éléphants, buffles et rhinocéros dans leur habitat naturel. La réserve de Samburu, quant à elle, avec ses paysages arides, propose une faune unique, dont le zèbre de Grévy et la girafe réticulée, qui captivent petits et grands. Un autre incontournable du pays est le parc national d’Amboseli, situé au pied du majestueux Kilimandjaro. Vous et votre famille pourrez y contempler des troupeaux d’éléphants, une bonne façon d’apprendre aux enfants l’importance de la conservation des espèces.
Par ailleurs, afin de profiter d’un spectacle visuel unique, le parc du lac Nakuru est idéal, il est en effet réputé pour ses colonies de flamants roses. Enfin, pour les amateurs de paysages volcaniques, le parc national du mont Kenya propose des randonnées adaptées à tous les niveaux. Quoi qu’il en soit, quel que soit le parc où vous choisirez de vous rendre, chacun d’entre eux offre un cadre exceptionnel, permettant aux familles de s’immerger pleinement dans la nature kenyane tout en profitant d’activités enrichissantes. Pour organiser dès à présent votre voyage au Kenya, faites appel à une agence de voyages comme Passion Évasion par exemple.
Quelles activités et safaris privilégier avec des enfants ?
Lors d’un voyage avec enfants au Kenya, certaines activités et types de safaris sont particulièrement adaptés. Les safaris en véhicule tout-terrain, dans des parcs comme le Masai Mara ou Amboseli, permettent par exemple aux plus jeunes de découvrir de près des animaux emblématiques, tels que les lions, les éléphants ou encore les girafes, tout en garantissant sécurité et confort. De nombreux lodges proposent également des programmes spéciaux pour les enfants, incluant des mini-safaris guidés par des experts, qui leur apprennent à reconnaître les empreintes ou à identifier les oiseaux.
Pour une aventure encore plus interactive, certains parcs offrent même la possibilité de participer à des promenades guidées dans la nature, comme dans la réserve de Lewa, où les enfants peuvent découvrir la faune à leur rythme, accompagnés de guides expérimentés. De son côté, le parc national de Nairobi propose une visite enrichissante avec son centre de sauvetage pour éléphants, permettant aux plus jeunes de mieux comprendre les enjeux de la protection animale. Une autre activité ludique à ne pas manquer est l’observation des oiseaux au lac Naivasha ou au lac Nakuru, où des colonies d’espèces aquatiques émerveilleront toute la famille. Ces expériences, adaptées à un public jeune, permettent d’allier découverte, aventure et sensibilisation à la préservation de la nature, tout en créant des souvenirs inoubliables pour les petits et les grands.
Les hébergements adaptés pour un séjour familial au cœur de la nature kenyane
Les lodges situés dans des réserves comme le Masai Mara ou Amboseli sont généralement pensés pour accueillir des familles, avec des chambres spacieuses et des services dédiés aux enfants. Certains établissements proposent d’ailleurs des activités spécialement conçues pour eux, comme des safaris adaptés à leur âge ou des ateliers éducatifs sur la faune, le tout encadré par des guides spécialisés.
Les camps de tentes, quant à eux, sont une bonne occasion d’être en contact direct avec la nature. Certains d’entre eux sont aménagés avec des tentes familiales, permettant de profiter de l’aventure du camping tout en bénéficiant de commodités modernes. À savoir que la sécurité est une priorité dans ces établissements, avec un encadrement permanent pour veiller à ce que les enfants puissent profiter de la nature en toute sérénité. Pour ceux qui recherchent une expérience plus immersive, certaines fermes ou écolodges situés en bordure des parcs proposent des hébergements respectueux de l’environnement. Ces lieux permettent d’initier les enfants à la durabilité et à la préservation de la faune et de la flore tout en profitant d’un cadre paisible.
Préparez un voyage en famille au Kenya : nos conseils pratiques
Pour préparer au mieux votre voyage au Kenya, il est tout d’abord recommandé de planifier le voyage pendant la saison sèche, entre juin et octobre, période idéale pour observer les animaux dans des conditions optimales. Assurez-vous également de consulter un pédiatre avant de partir, car certaines vaccinations comme celles contre la fièvre jaune ou la typhoïde sont obligatoires ou fortement conseillées, notamment pour les enfants. Autre point important : prévoir une trousse de premiers secours adaptée, incluant des médicaments contre le paludisme et des protections solaires efficaces.
Côté hébergement, opter pour des lodges ou des camps de tentes adaptés aux familles permet de garantir confort et sécurité. En termes de transports, privilégiez les vols intérieurs pour les longs trajets, car les distances entre certains parcs peuvent être importantes. Pour les déplacements sur place, un véhicule tout-terrain avec un guide local est bien souvent la meilleure option.
Pour ce qui est des vêtements, optez pour du léger, mais couvrant afin de protéger les enfants des insectes et du soleil. N’oubliez pas non plus d’emporter une paire de jumelles pour ne rien rater des safaris. Enfin, assurez-vous de sensibiliser les enfants à l’importance de la conservation de la faune et de la flore, afin qu’ils vivent cette aventure en pleine conscience et respect des merveilles naturelles du Kenya.
Situation dangereuse et sure actuelle au Bénin selon les zones géographiques
La réalité sécuritaire béninoise varie considérablement selon les régions visitées. Le territoire national se divise en trois zones distinctes présentant des niveaux de risque différenciés.
Régions côtières et urbaines du sud
Les zones côtières concentrent la majorité des infrastructures touristiques et présentent un niveau de sécurité acceptable. Cotonou, Porto-Novo et Ouidah accueillent quotidiennement des visiteurs internationaux sans incidents majeurs. Ces villes bénéficient d’une présence policière renforcée et d’équipements de sécurité adaptés aux besoins touristiques.
Le département du Littoral enregistre le taux de criminalité le plus faible du pays avec 2,3 incidents pour 1000 habitants. Cette statistique place la région dans une fourchette comparable aux autres destinations touristiques d’Afrique de l’Ouest.
Zones rurales du centre
Les régions centrales nécessitent davantage de prudence en raison d’infrastructures limitées et d’un enclavement géographique. Les départements du Zou et des Collines présentent des défis logistiques qui peuvent compliquer les secours en cas de problème. Les voyageurs doivent privilégier les déplacements en groupe et informer systématiquement leur hébergement de leurs itinéraires.
L’accès aux soins médicaux devient particulièrement problématique dans ces zones rurales. Les structures sanitaires sont carencielles et les évacuations vers les centres urbains peuvent prendre plusieurs heures.
Nord du pays et zones frontalières
Le nord du Bénin constitue la zone la plus préoccupante depuis 2019. La dégradation sécuritaire au Sahel a progressivement affecté les régions frontalières béninoises par un effet de débordement des crises du Burkina Faso et du Niger.
Les autorités françaises classent désormais 18% du territoire national en zone rouge, formellement déconseillée aux voyageurs. Cette classification concerne principalement la frontière avec le Burkina Faso sur une profondeur de 40 kilomètres et les parcs nationaux de la Pendjari et du W.
Zone géographique
Niveau de risque
Pourcentage du territoire
Recommandation officielle
Régions côtières
Faible à modéré
15%
Vigilance normale
Centre du pays
Modéré
36%
Vigilance renforcée
Nord – zone orange
Élevé
31%
Déconseillé sauf raison impérative
Nord – zone rouge
Très élevé
18%
Formellement déconseillé
Principaux risques sanitaires et maladies tropicales à anticiper
Le profil épidémiologique du Bénin impose une préparation sanitaire rigoureuse aux voyageurs. Plusieurs pathologies endémiques nécessitent des mesures préventives spécifiques avant et pendant le séjour.
Paludisme et maladies vectorielles parmi les dangers au Bénin
Le paludisme représente le risque sanitaire majeur avec un taux de prévalence de 42% de la population selon l’Organisation mondiale de la santé. La transmission s’intensifie pendant la saison des pluies d’avril à octobre, particulièrement dans les régions du nord où les taux atteignent 65%.
La prophylaxie antipaludique reste indispensable pour tous les voyageurs. Les spécialistes recommandent l’atovaquone-proguanil ou la doxycycline selon le profil médical individuel.
Arboviroses émergentes
La dengue connaît une recrudescence inquiétante avec 2 400 cas déclarés en 2024, soit une progression de 340% en deux ans. Cotonou concentre 78% des cas, particulièrement dans les quartiers périphériques où stagne l’eau de pluie. Le chikungunya et le virus Zika circulent également avec des pics épidémiques en saison humide.
Aucun vaccin n’existe contre ces arboviroses, rendant la protection contre les moustiques indispensable. Les répulsifs contenant du DEET et les moustiquaires imprégnées réduisent significativement les risques de transmission.
Maladies hydriques et alimentaires dangereuses au Bénin
Le choléra réapparaît périodiquement avec 156 cas confirmés en 2024 dans les départements côtiers. L’hépatite A touche 23% des voyageurs non vaccinés séjournant plus de trois semaines dans le pays.
La consommation exclusive d’eau embouteillée capsulée et l’évitement des glaçons constituent des mesures préventives fondamentales. Les fruits doivent être pelés par le voyageur lui-même et les légumes crus proscrits.
Fièvre jaune et vaccinations obligatoires
Le Bénin figure parmi les pays où la fièvre jaune est endémique. La vaccination contre cette maladie reste obligatoire pour l’entrée sur le territoire et de nombreux pays exigent une preuve de vaccination pour les voyageurs en provenance du Bénin.
Le risque d’infection existe toute l’année sur l’ensemble du territoire, avec une intensification pendant les saisons des pluies de mars à juillet et de septembre à novembre.
Criminalité urbaine et arnaques courantes dans les villes béninoises
La criminalité urbaine au Bénin suit des schémas classiques observés dans de nombreuses destinations d’Afrique de l’Ouest. Les incidents se concentrent principalement dans les zones commerciales et touristiques des grandes villes.
Cotonou et ses zones à risque du Pays
Le marché Dantokpa concentre 60% des incidents signalés aux autorités consulaires. Les pickpockets y opèrent particulièrement entre 14h et 17h, profitant de l’affluence maximale des acheteurs et vendeurs.
Le port de Cotonou enregistre également une criminalité notable avec des vols à l’arraché signalés quotidiennement. Les quartiers résidentiels comme Cocotomey et Akpakpa présentent des taux d’effraction plus élevés pendant les heures nocturnes.
Arnaques spécifiques aux touristes, un danger à connaître au Bénin
Plusieurs types d’escroqueries ciblent spécifiquement les visiteurs étrangers dans les principales villes béninoises. Ces pratiques nécessitent une vigilance particulière pour éviter les désagréments financiers.
L’arnaque aux « faux policiers » sur les axes routiers entre Cotonou et Grand-Popo, exigeant des amendes immédiates en espèces
Les « guides spontanés » aux abords des sites touristiques de Ouidah et Ganvié, sans certification officielle
Les faux changeurs de monnaie proposant des taux avantageux avec de faux billets
Les vendeurs de faux médicaments dans les pharmacies non agréées
Évolution statistique de la criminalité
Les forces de sécurité béninoises recensent environ 150 vols avec violence par mois à Cotonou, soit une augmentation de 23% par rapport à 2022. Cette hausse s’explique notamment par les difficultés économiques accentuées par l’inflation régionale.
La réponse des autorités locales inclut le déploiement de 200 policiers supplémentaires dans les zones touristiques et l’installation de caméras de surveillance dans les principaux marchés.
Menace terroriste dans le nord du pays et zones à éviter absolument
La menace terroriste au nord du Bénin constitue une réalité documentée qui nécessite une analyse factuelle. Plusieurs groupes armés ont établi des bases logistiques dans les zones frontalières, modifiant significativement la donne sécuritaire.
Présence confirmée de groupes armés
L’État islamique au Grand Sahara (EIGS) et Jama’at Nasr al-Islam wal Muslimin (JNIM) utilisent les sanctuaires naturels des parcs transfrontaliers pour échapper aux poursuites militaires. En 2024, les forces béninoises ont démantelé quatre camps d’entraînement dans la région de la Pendjari.
Ces découvertes confirment l’implantation durable de cellules terroristes sur le territoire béninois. Les groupes disposent d’armements sophistiqués incluant des mines artisanales et des lance-roquettes.
Incidents récents et capacités opérationnelles
L’attaque du 1er février 2022 dans le parc de la Pendjari a causé la mort de huit personnes, dont cinq rangers. Cet événement marque l’entrée du Bénin dans la zone d’influence directe du terrorisme sahélien.
Trois incidents impliquant des groupes armés ont été recensés en 2024 dans la région de la Pendjari. Ces attaques démontrent la capacité opérationnelle maintenue par les organisations terroristes malgré la pression militaire.
Zones formellement interdites et dangereuses dans le pays
Les autorités internationales déconseillent formellement l’accès à plusieurs zones du nord béninois. Cette interdiction s’appuie sur des évaluations de risque actualisées mensuellement.
La liste des zones rouges comprend toute la frontière avec le Burkina Faso sur 40 kilomètres de profondeur, les parcs nationaux de la Pendjari et du W dans leur intégralité, ainsi que la zone nord de la route nationale RNIE 7 jusqu’à Nikki. Les abords de Malanville et la frontière avec le Nigeria dans cette région complètent cette cartographie des zones interdites.
Réponse gouvernementale et coopération internationale
Le gouvernement béninois a investi 45 milliards de francs CFA dans la sécurisation du nord depuis 2021. Cette enveloppe finance l’équipement de 12 nouvelles brigades de gendarmerie et la formation spécialisée de 500 rangers.
L’opération militaire « Mirador » déploie 3 000 hommes pour sécuriser les zones frontalières. La coopération internationale s’intensifie avec la France pour la formation, les États-Unis pour les équipements de surveillance et les pays voisins du Golfe de Guinée.
Conseils pratiques pour voyager en sécurité au Bénin
La sécurité d’un séjour au Bénin dépend largement de la préparation en amont et du respect de précautions spécifiques sur place. Ces recommandations pratiques s’appuient sur l’expérience des voyageurs et les retours des autorités consulaires.
Préparation avant le départ
L’inscription sur le service Ariane du ministère des Affaires étrangères permet l’alerte en cas de crise et facilite l’assistance consulaire. Cette démarche gratuite s’impose pour tout séjour supérieur à 48 heures.
La souscription d’une assurance voyage incluant le rapatriement sanitaire sans franchise constitue une précaution indispensable. Les évacuations vers Dakar ou Paris coûtent entre 35 000 et 95 000 euros selon la destination.
Hébergement et sécurité nocturne
Le choix d’hôtels disposant d’un gardiennage nocturne et de chambres aux étages supérieurs réduit significativement les risques. Les rez-de-chaussée concentrent 73% des cambriolages selon les statistiques consulaires.
Le verrouillage systématique des portes et fenêtres, même en journée, prévient les intrusions opportunistes. L’utilisation du coffre-fort de l’hôtel pour les documents et espèces limite les pertes en cas de vol.
Déplacements et transports, est-ce dangereux au Bénin
Les déplacements nocturnes en dehors de Cotonou doivent être évités absolument. Les accidents de circulation augmentent de 420% après 22h en raison de l’éclairage public défaillant et de l’alcoolisme au volant.
Les taxis officiels se reconnaissent par leur plaque jaune et leur compteur fonctionnel. La négociation du tarif avant le départ et la conservation de monnaie évitent les conflits tarifaires.
Santé et infrastructures médicales
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